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USA : l’acétate de vitamine E reconnu par le CDC comme potentiellement responsable des maladies pulmonaires

USA : l’acétate de vitamine E reconnu par le CDC comme potentiellement responsable des maladies pulmonaires

Dans leur dernière déclaration, les CDC ont annoncé avoir décelé la présence d’acétate de vitamine E dans les 29 échantillons de fluide pulmonaire analysés. Il s’agit de la première fois que l’organisme détecte ce qu’il considère être un « produit chimique potentiellement préoccupant ».

Des résultats de laboratoires confirment la présence du composé toxique

Il y a quelques heures, nous vous annoncions que le cap des 2 000 vapoteurs touchés par une maladie pulmonaire, avait été franchi aux USA. Et si jusqu’à présent, les Centers for disease control and prevention (CDC) rappelaient sans cesse qu’ils n’avaient aucune idée du ou des composés qui pouvaient créer ces problèmes de santé, la situation pourrait bien avoir évolué il y a seulement quelques heures.

En effet, il y a peu, les CDC ont annoncé dans leur dernière déclaration que de récents tests de laboratoire effectués sur les échantillons de fluide pulmonaire de 29 vapoteurs malades ont tous révélé la présence d’acétate de vitamine E. Un additif utilisé dans la production de certains e-liquides au THC, en tant qu’agent épaississant.

Comme l’indique l’organisme, il s’agit de la première fois qu’il détecte « un produit chimique potentiellement préoccupant » dans des échantillons biologiques de patients atteints de lésions pulmonaires. Des résultats qui, selon l’organisme, « fournissent des preuves directes de la présence d’acétate de vitamine E au site principal de la lésion dans les poumons ».

Bien que la FDA avait remarqué la présence de ce composé dans une majorité des échantillons qu’elle avait testé, il y a maintenant plus de deux mois, il s’agit de la première fois que les CDC en parlent officiellement.

Ne reste maintenant plus qu’à espérer que tous les médias du monde ayant attaqué la vape au début de cette histoire, rectifient leurs erreurs et annoncent clairement que la vaporisation d’e-liquides traditionnels n’est pas responsable de ces problèmes de santé